Les « héritiers » d’Abraham
Dans la parole nous voyons que nous sommes appelés à vivre une relation avec le Seigneur en 3 dimensions.
Par exemple, lorsqu’il nous est dit en Romains 11.36 que c’est « de lui, par lui et pour lui que sont toutes choses » on voit qu’il y a ces 3 dimensions. « Toutes choses » comprend tout ce qui a été créé et nous faisons partie de cette création. Nous comprenons alors que nous avons une relation avec le Seigneur comprenant ces 3 paramètres « de lui, par lui et pour lui ».
Nous n’allons pas étudier cela ce matin mais la raison pour laquelle j’en parle est que le message rejoint ces 3 dimensions.
Pour étudier brièvement ces 3 dimensions j’aimerais que nous regardions ensemble les 3 « héritiers » qu’a eu Abraham. Un seul a été son héritier mais, Abraham, dans son coeur, avant d’avoir celui qui va réellement être son héritier, va être prêt à accepter d’autres héritiers.
Nous ferons également un parallèle avec le service de sacrificateur dans l’ancienne alliance. Chaque sacrificateur devait en effet vivre ces 3 dimensions de consécration, couvert par la grâce de Dieu.
Avoir un fils et à travers ce fils un héritier était une obsession dans la vie d’Abraham. C’est un sujet qui revient sans cesse dans ses discussions avec Dieu.
Quelle est la première personne qu’Abraham va reconnaître comme son héritier ?
Eliézer :
Nous rencontrons Eliézer en Genèse 15. Dans ce chapitre Dieu va rencontrer Abraham et va avoir un discours avec lui.
Genèse 15.1 à 6 : « … »
Dieu va donc dire à Abraham (v2) « ne crains point ; je suis ton bouclier, et ta récompense sera très grande ». Dieu savait très bien, en disant cela, qu’Abraham allait ramener la conversation sur le fait qu’il n’avait pas d’enfant.
C’était le problème d’Abraham, problème qui envahissait ses pensées, « je n’ai pas d’enfant ».
Et pour résoudre ce problème, Abraham va décréter que son héritier sera Eliézer de Damas, son serviteur.
Mais Dieu n’avait pas la même conclusion qu’Abraham (v4) : « ce n’est pas lui qui sera ton héritier, mais c’est celui qui sortira de tes entrailles qui sera ton héritier ».
Abraham était à ce moment là fixé sur lui-même et sur la situation actuelle. Et la situation actuelle lui disait qu’il n’avait pas d’enfant et c’est la situation qu’Abraham s’était résigné à accepter : je n’ai pas d’enfant et celui qui sera mon héritier ne sera pas mon enfant mais mon serviteur.
Pourtant Dieu avait déjà parlé à Abraham et lui avait dit qu’il rendrait sa postérité « comme la poussière de la terre » (Genèse 13.16). Mais les années passant, c’est une parole de Dieu dans laquelle Abraham n’arrivait pas à se projeter.
Alors Dieu va conduire Abraham hors de sa tente et va lui dire (v5) : « Regarde vers le ciel, et compte les étoiles, si tu peux les compter. Et il lui dit : telle sera ta postérité. »
Dieu ne voulait pas sortir Abraham seulement hors de sa tente mais plutôt hors de ses limites personnelles ; hors de ce qu’il pouvait faire ou ne pas faire, penser ou ne pas penser.
Le plan que Dieu a pour nos vies est son plan à Lui. Il n’est pas venu d’ Abraham l’idée de partir de son pays (Genèse 12) et de devenir le père d’une multitude de gens. Ce n’est pas lui qui a imaginé cela. C’était le plan que Dieu avait projeté et il voulait amener Abraham à se projeter dans ce plan là.
Eliézer veut dire « Dieu est un secours ». Dieu est capable de pourvoir à l’accomplissement de son plan.
Le plan de Dieu n’est pas en rapport avec mes capacités ou mes incapacités mais avec les capacités de Dieu quant à l’accomplissement de ses promesses. Son plan n’est pas directement en rapport avec moi-même mais plutôt en rapport avec Lui en moi.
Dieu a un plan et bien souvent le problème est qu’on ne sait pas à quoi nous sommes appelés. On ne sait pas ce que le Seigneur attend de nous, on ne connait pas les dons que le Seigneur nous a donné.
La première dimension dont je veux parler est le rapport à soi.
La semaine dernière il a été parlé des yeux et des défauts que peuvent avoir nos yeux.
Nous avons besoin d’avoir une juste vision de soi-même, d’être bien positionné vis à vis de soi-même par rapport à Dieu.
Souvent nous avons une vision faussée de nous-même car soit nous allons nous élever soit nous allons nous rabaisser. Mais la seule chose qui compte est Christ en nous et ce que Dieu veut faire.
Quand Abraham va avoir le fils tant attendu, il n’était plus en mesure d’en avoir un, il était trop vieux. Il n’était plus en mesure de donner la vie mais Dieu oui. Abraham devait apprendre à compter sur la puissance de Dieu !
Zacharie 4.6 « ce n’est ni par la puissance ni par la force mais par mon Esprit, dit l’Eternel des armées ».
Nos capacités peuvent devenir pour nous un véritable poison car elles nous amènent à nous confier en elles et à ne plus dépendre de Dieu. Nos incapacités quant à elles ont ce côté pervers de nous amener à nous apitoyer sur soi-même au lieu de regarder le Dieu vivant qui a la capacité d’agir selon sa volonté ; l’Eternel des armées.
Ce passage commence par Dieu disant à Abraham « je suis ton bouclier » et finir par cette déclaration « Abraham eut confiance en l’Eternel ».
Il commence par la foi, le bouclier de la foi (Ephésiens 6.16), et il finit par la foi.
Nous devons apprendre à mettre notre confiance en Dieu.
(Au chapitre 13.14 Dieu va parler à Abraham et lui faire une promesse sur sa postérité. Mais dans ce passage il ne nous est pas dit qu’il a cru comme ici au chapitre 15. Il fallait qu’Abraham apprenne à croire plus en Dieu qu’en lui-même).
Parallèle :
En Lévitique 8.22 à 24, nous voyons Moïse consacrer Aaron et ses fils pour le service de sacrificateur.
Moïse va faire trois choses.
La première chose que Moïse va faire est mettre du sang sur le lobe de leur oreille droite.
- Ce point est en rapport avec la conscience de soi.
J’ai conscience de qui je suis avec mes forces et mes faiblesses.
- Domaine de relation : Dieu dans ma vie personnelle.
J’ai besoin d’avoir conscience que Dieu agit dans ma vie personnelle.
- Domaine de pratique dans ma vie : la foi.
L’oreille nous parle de ce que l’on entend et ce que l’on entend entre en nous et a une influence sur nous, négative ou positive. - Consécration / Lévitique 8 : L’oreille (le lobe de l’oreille droite).
Romains 10.17 nous dit « Ainsi la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la parole de Christ ».
Le serviteur doit apprendre à mettre sa foi en Dieu et non pas en lui.
Ismaël :
Genèse 17.15 à 19 : « … »
La deuxième personne qu’Abraham va considérer comme son héritier est Ismaël (v18).
Dans ce passage, contrairement à sa conversation précédente avec Abraham (où Dieu va lui parler de ses entrailles), Dieu ne va pas mettre l’accent sur Abraham lui-même mais sur Sara sa femme : « je la bénirai, et je te donnerai d’elle un fils ; je la bénirai, et elle deviendra des nations… ».
Si précédemment Dieu voulait qu’Abraham soit bien positionné vis à vis de lui-même dans son rapport à Dieu ; il voulait à présent qu’il soit bien positionné vis à vis de sa femme dans son rapport à Dieu.
Quel est le deuxième commandement dans les évangiles ? (Marc 12.31) « Tu aimeras ton prochain comme toi-même ». Je ne dois pas seulement me visionner moi dans mon rapport à Dieu mais également l’autre dans son rapport à Dieu.
Nous pouvons avoir confiance en Dieu par rapport à soi mais ne pas avoir confiance en Dieu par rapport à l’autre avec qui nous sommes lié. Et cela devient alors problématique.
C’est vrai dans le mariage mais c’est vrai également avec tous mes frères et sœurs dans l’Eglise.
Nous avons besoin de nous accepter personnellement avec nos faiblesses et croire en Dieu dans nos faiblesses ; mais nous avons également besoin d’accomplir le même cheminement vis à vis de l’autre.
Si ce n’est pas le cas, nous allons agir de deux manières :
– soit nous allons nous mettre à l’écart
– soit nous allons chercher à influencer, dominer, manipuler l’autre
Comment va naître Ismaël ? Par la manipulation et en cherchant à dominer la situation.
Se voyant stérile et voyant qu’elle ne donnait pas d’enfant à Abraham, Sara va lui conseiller d’aller auprès de sa servante Agar. De cette relation va naître un enfant : Ismaël.
Et comme c’était une très mauvaise idée, ce fruit va devenir amer pour Sara. Agar va regarder Sara avec mépris car elle était enceinte alors que sa maîtresse non.
Que va dire Sara à Abraham ? « …L’outrage qui m’est fait retombe sur toi… Que l’Eternel soit juge entre moi et toi ! » (Genèse 16.5). Sincèrement elle est quand même « osée » Sara ; c’est vrai qu’Abraham n’aurait pas dû l’écouter, mais c’est quand même elle qui va lui conseiller d’aller voir sa servante pour avoir un enfant !
Il est vrai qu’Agar va mal agir car elle va regarder sa maîtresse avec mépris mais on peut quand même se demander à quoi Sara s’attendait avec ce conseil très peu avisé ?
En fait nous sommes au sein d’un gros problème relationnel, familial, car personne n’agit selon Dieu. Et tout le monde remet la faute sur l’autre.
Agar va s’enfuir dans le désert pour échapper à Sara et Dieu va devoir intervenir. La solution que Dieu a donné à Agar, que nous pourrions appliquer à chacun est : « humilie-toi » ; Genèse 16.9 : « L’ange de l’Eternel lui dit : retourne vers ta maîtresse, et humilie-toi sous sa main ».
Que veut dire Ismaël ? « Dieu entend ». Dieu va apparaître à Agar dans le désert alors qu’elle pensait mourir elle et son fils, afin de les secourir et leur donner un avenir.
Dieu a un avenir et une espérance pour Agar et pour Ismaël, mais pour cela il demande une chose : « ne te sépares pas et humilie-toi ».
Dieu ne dit pas à Agar « Tu as raison, Sara agit mal envers toi ». Agar aussi avait son propre tort.
C’est vrai que ça peut être très dur parfois de s’humilier et d’aller vers son prochain. Mais est-ce ma vision de la vie de vouloir me réconcilier avec mon prochain ?
Lisons un passage : 1 Thessaloniciens 5.23, 24 : « … » C’est une promesse et nous avons besoin de croire en cette promesse non seulement pour nous même mais aussi pour notre prochain. Que cela soit pour nous comme pour notre prochain notre confiance est en Dieu.
Sara, cette femme de mauvais conseil concernant le fait d’aller vers Agar va, par la suite et par la grâce de Dieu, devenir la mère de l’héritier d’Abraham, l’enfant de la promesse. Car entre temps Sara va apprendre. Et malheureusement, l’apprentissage passe parfois par des temps de doutes, des temps de loupés.
Paul, en parlant d’Onésime à Philémon, va dire « il t’était autrefois inutile, mais aujourd’hui il est utile à toi et à moi ».
Si nous avons besoin de mourir afin d’avoir une juste vision de nous-même, nous avons également besoin de mourir afin d’avoir une juste vision de notre prochain et cela afin de ne plus voir que l’oeuvre de grâce du Seigneur Jésus en chacun d’entre nous.
Notre prochain nous décevra toujours, et nous-même nous le décevrons. Mais que ce soit pour nous-même ou pour notre prochain, notre confiance est dans la grâce de Dieu. Cette confiance en Dieu nous aide à avoir des relations équilibrées.
Parallèle :
Pour faire le parallèle avec Lévitique 8, Moïse va ensuite mettre du sang sur le pouce droit d’Aaron et ses fils.
- Ce point est en rapport avec la conscience de l’autre.
J’ai conscience des forces et des faiblesses de mon prochain. - Domaine de relation : Dieu dans la vie de mon prochain.
J’ai besoin d’avoir conscience que Dieu agit dans la vie de mon prochain.
- Domaine de pratique dans ma vie : la vie intime avec Dieu.
J’ai besoin d’apprendre à mettre chaque jour ma joie en Dieu à travers une relation intime avec Lui. Cette relation intime m’aide à avoir une juste vision de mon entourage.
- Consécration / Lévitique 8 : Le pouce (de la main droite).
La main me sert à attraper les choses autour de moi, le pouce principalement. Mes mains me permettent de travailler et modifier les choses autour de moi. Je ne vis pas seul mais je vis entouré d’autres personnes. Ces personne peuvent chercher à avoir une influence dans ma vie, bonne ou mauvaise. Moi-même je peux chercher à influencer leur vie.
Mais plutôt que de me laisser influencer ou chercher à influencer les autres charnellement j’ai besoin de prendre du temps avec Dieu et le laisser me remplir de son Esprit. Rempli de son Esprit je peux prendre de bonnes décisions et faire des oeuvres justes.
Abraham aurait dû chercher Dieu pour savoir si le conseil que lui avait donné Sara venait de Lui.
Isaac :
Le troisième héritier que nous voyons, cette fois-ci le bon, est évidemment Isaac.
Le passage que j’aimerais voir concernant Isaac est Genèse 22. C’est le passage où Dieu va demander à Abraham de lui offrir Isaac en sacrifice.
Lire Genèse 22.1, 2.
Il est évident que cette demande de Dieu va certainement poser beaucoup de questions et d’émotions à Abraham.
Une des questions qu’a du se poser Abraham, puisque Dieu lui avait promis qu’il aurait d’Isaac une postérité innombrable, était « comment cela peut il être possible ? ».
Dieu fait un miracle mais il reprend ce miracle et les promesses qui en découlent. Ça n’a pas de sens !
La demande de Dieu d’offrir Isaac en sacrifice est un acte terrible. Mais il faut le remettre dans son contexte ; Abraham est entouré de peuples dont c’est pratique courante à cette époque d’offrir leurs enfants en sacrifice à leurs dieux. Et Dieu va en quelques sortes demander à Abraham : « ces peuples font cela pour leurs dieux, toi es-tu prêt à le faire pour moi ? Quelle est la profondeur de ton amour et ta consécration pour moi ? ».
Abraham avait une compréhension de la promesse que Dieu lui avait faite qui s’arrêtait à sa vie terrestre. Mais à travers cette expérience d’offrir son fils en sacrifice à Dieu il va entrer dans une compréhension plus grande. Il va comprendre que sa vie et les promesses de Dieu ne s’arrêtent pas à ce qui est terrestre et ce qui est visible mais que Dieu voit bien plus loin.
Abraham va comprendre que l’héritage dont Dieu parle n’est pas premièrement un héritage terrestre mais spirituel. Afin de comprendre cela il va falloir qu’il tue la bénédiction terrestre afin de pouvoir discerner celle qui est spirituelle.*
Hébreux 11.8 à 10 : « … » Au départ Abraham ne comprend pas cela, il part pour un pays que Dieu lui a promis. C’est par la suite qu’il va comprendre que ce pays n’est pas prioritairement terrestre mais spirituel. C’est par la suite qu’il va comprendre que Dieu voulait le placer dans une perspective éternelle.
Nous avons besoin d’apprendre à visionner notre vie dans les plans éternels de Dieu. Nos choix, nos décisions, nos actions, nos motivations etc… ne doivent pas s’arrêter à une compréhension terrestre de notre vie mais doivent s’inscrire dans une compréhension des plans éternels de Dieu : la construction de l’Eglise, le salut des âmes, les oeuvres préparées à l’avance… tout ce qui concerne le royaume de Dieu !
Car Dieu ne regarde pas notre vie limitée à ce temps terrestre ; tout ce qu’il fait il le regarde dans une dimension éternelle.
Notre vie a été placée dans un royaume : Colossiens 1.13 : « il nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transportés dans le royaume de son Fils bien aimé ». Nous avons besoin de fonctionner en conformité avec ce royaume ; comprendre selon ce royaume.
Je me rappelle d’une soeur pour qui nous priions un jour ; elle voulait que l’on prie pour un mari. Le Seigneur a donné une vision à un frère ; il la voyait marcher avec derrière elle plusieurs enfants qui la suivait. Ce n’étaient pas des enfants terrestres mais spirituels.
La soeur disait : » ce n’est pas ça que j’ai demandé » ; mais c’était la réponse de Dieu. Dieu voulait la fixer sur cette priorité qu’il a une mission pour elle ici bas.
Ayons conscience de cette réalité. Dieu veut nous emmener en accord avec Lui dans cette réalité et non pas de manière forcée. Dieu n’a pas tué Lui-même Isaac ; il a demandé à Abraham de le faire. Et Abraham avait le choix de le faire ou ne pas le faire. Dieu attendait d’Abraham un acte volontaire. De cet acte volontaire découle la bénédiction.
Dieu n’a jamais voulu faire mourir Isaac ; c’est bien Abraham qu’il cherchait à faire mourir.
Dieu se soucie de nos vies mais il se soucie aussi du but éternel qu’il a placé dans nos vies.
Que veut dire Isaac ? Isaac veut dire « rire, il a ri ». En lisant l’étude de Maurice sur la signification des noms dans la Bible j’ai lu que cela ne voulait pas seulement dire cela mais aussi « Que Dieu ri, souri, sois favorable ».
Les deux ont ri, Abraham comme Sara : Genèse 17.17 et Genèse 18.12.
Le mots rire ici peut également vouloir dire « se moquer ». C’est un mot qui peut revêtir une signification n’étant pas toujours très gentille. C’était le cas des réactions qu’ont eu Abraham et Sara ; quelque part ils disaient à Dieu : « tu ne sais pas ce que tu dis ».
A ce rire moqueur et un peu dédaigneux Dieu va répondre par un sourire, une marque de grâce et d’amour.
Parallèle :
Pour faire le parallèle avec Lévitique 8, Moïse va ensuite mettre du sang sur le gros orteil droit d’Aaron et ses fils.
- Ce point est en rapport avec la conscience d’avoir un but.
Nous avons tous besoin de nous projeter dans l’avenir, et besoin de motivations afin de nous projeter. Sans but l’homme ne peut pas vivre, il végète. - Domaine de relation : Ma relation à Dieu.
Ce n’est plus Dieu dans ma vie ou la vie de mon prochain mais moi vis à vis de Dieu. - Domaine de pratique dans ma vie : la soumission.
Dieu veut faire grandir ma foi et m’attirer dans une relation plus intime avec Lui. Mais c’est à moi de me soumettre à Lui.
- Consécration / Lévitique 8 : Le pied (le gros orteil du pied droit).
Les pieds me permettent d’avancer vers un but. Quel est mon but dans la vie ? Est-ce que mon but est fixé essentiellement sur cette terre ou est-ce que je me projette en rapport avec l’éternité ?
Philippiens 3.12 à 14 : « … »
A TELECHARGER: les « Héritiers » d’Abraham